À la cuisine.
La chair de pastèque est sucrée quand le fruit est à maturité ; sa aprtie plus claire, voire blanche, près de la peau est, de même que chez le melon, moins sucrée.
Crue.
Épluchée, la pastèque se consomme coupée en quartiers, en cubes, en batonnet, réduite en jus.
On peut l’agrémenter de menthe, ou de basilic, ou de féta, d’olive noire, etc…
Ele peut voisiner agréablement avec d’autres en salade fruits.
Cuite.
Une recette traditionnelle dans le Sud-Est cuit la pastèque en confiture avec pas mal de citron entier, sur le même modèle que la cître (voir ci dessous)
Dans les livres.
La pastèque (Cucurbita citrullus lanatus) de la famille des cucurbitacée (comme les courge, courgette, et aussi concombre, melon…) est une plante du genre Citrullus, comme la cître, qui a elle la chair blanche, de peu de goût et n’est utilisée qu’en confiture, surtout en gelée..
Parmi les graines de végétaux qui symbolisent traditionnellement la fécondité, et comme l’épi de blé pour les mariés de nos régions, ce sont les graines de pastèque qui sont données en cadeau aux fiancés dans la tradition Viet-Namienne.
Au jardin.
La pastèque est une plante rampante, très coureuse, qui prend donc beaucoup de place au jardin. Elle concurrence «par nature» les cultures à côté, de même quelle peut facilement être abîmée par les passages de pieds paysans, de roue de matériels, ou les travaux sur les planches voisines.

Nous la semons en motte graine à graine et la repiquons en plain champ, sur planche permanente filmée. Selon les variétés, la peau peut être verte

ou tachée de blanc.

On repère la maturité du fruit à l’état de son pédoncule, et en la «sonnant».

Selon les années, cultivée en Bresse, on la déguste deuxième quinzaine d’août ou en septembre.
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