À l’occasion du 1er mai, qui est la fête internationale des travailleurs, et comme chaque année depuis 1886, des travailleurs ont manifesté pour la journée de 8 heures dans le monde entier. Trace de quelque paysan (un genre donc de premier de… corvée ?) descendant sans doute des jacqueries et sortant du bois et respectant les -signes sanitaires et
manifestant ses revendications, accompagné de quelques symboles de son métier : le «sarclot» forgé artisanal, une production nourrissante, l’engagement Bio contrôlé plutôt que de simples paroles . À cette occasion, un bref communiqué en deux parties a été diffusé :
- «Masqués, pas baillonnés ! Honte aux costards bleus gouvernementaux - à peine «aux affaires» à l’automne 2017 - d’avoir décidé et aux «godillots» parlementaires d’avoir veauté, le choix de Travert, la suppression des aides au maintien de l’Agriculture Biologique».
- «-finés pas -finis, mais -scients que c’est par l’action -certée avec tous les -pagnons que «les-mau-vais-jours (ploum,ploum) fi-ni-ront (ploum,ploum) etga (aa,aa) air connu…».
Premier mai en échos…
Échos d’ailleurs.
1er mai Paris place de la République

1er mai Athènes place du parlement

Écho d’histoire.
Écho de dessins.
(Alessandro Pignocchi. Petit traité d’écologie sauvage. La cosmologie du futur. Éditions Steinkis.)
Écho musical.

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