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A la cuisine.
L’épluchage du chou rave doit être assez épais car il est assez facilement filandreux. Il faut veiller à enlever la tranche inférieure : plus près de la racine, elle est le plus souvent inmangeable. Un fois ces précautions prises, le chou rave est un légume excellent, au goût très doux.
Cru.
Râpé
(assez gros) en salade, il rend un peu de jus. Il n’est pas conseillé de le «faire attendre » ou de conserver les restes car il fermente facilement, comme toutes les crucifères d’ailleurs.
Idée de sauce
Dans du yaourth au lait de vache, ou de brebis, on coupe très finement de la feuimlle de fenouil. On y trempe des batonnets, ou on y mélange des petits cubes de chou-rave.
Cuit.
Poêlé.
On coupe en petits cubes, qu’on fricasse à feu vif à la poêle légèrement huilée en tournant très régulièrement pour homogénéiser la cuisson.
Cuit vapeur.
Préparation en cubes un peu plus gros pour cuisson 15 minutes au cuit vapeur. Crème de vache au moment de servir ?
En galettes.
Rapé avec des carottes, le tout mélangé avec des flocons de céréale, et un oeuf comme liant. On laisse tranquille 1/4 d’heure avant cuisson à feu assez vif sur la poêle légèrement huilée.
Gratin.
Coupé en rondelles, accompagné d’une béchamel et cuit au four. On peut en fin de cuisson faire gratiner du comté rapé par dessus.
Dans les livres.
Une fiche généraliste donne plein de renseignements sur la grande famille des choux.
Genre d’ovni sphérique aux multiples antennes, le chou-rave est non pas une racine, mais le renflement de la tige, ce qui explique pourquoi ses feuilles sont directement sur la boule.
Au jardin.
On peut le cultiver au printemps ainsi qu’à l’automne, pour consommer en frais ou pour le stockage hivernal de courte durée. Il en existe des variétés à peau vert clair ou à peau bleu violet. La chair en est blanche dans les deux cas.
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